30 de abril… un día de porquería como siempre.
Ahora se trata del final de un periodo y del comienzo de otro.
Ahora se trata del final de un periodo y del comienzo de otro.
Aparentemente así es la vida… siempre tiene que doler.
Parecerá canción de Christophe Maé pero es cierto, duele..
Duele tener que dejar ese lugar que, aunque sea medio aburrido, poco a poco ha llegado a convertirse en tu hogar.
Duele tener que dejar atrás ese estilo de vida, los viajes, el TGV, las tardes de té, las cenas “en familia”, tener 2 semanas de vacaciones cada mes y medio, tener un celular de plan y molestar gente todos los días a partir de las 10 de la noche, ir a perder el tiempo al Hyper U o ir a caminar al barrio medieval…
pero lo que más duele es tener que despedirse de toda aquella gente que ahora forma parte de tu vida… compañer@s, amig@s y varios casi herman@s… gente que de alguna manera tiene un lugarcito muy dentro de tu corazón.
Hay que ser fuerte, porque si hay algo que nos enseña la vida es que debemos vivir despidiéndonos… debes soportar el dolor, porque es fácil partirse cuando le hablas a alguien para recordarle algo y terminas llorando junto con ella.
Hay que ser fuerte y aguantar… nada más que aguantar… al menos la esperanza de volver a verse un día siempre está presente.
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Le 30 avril… un jour de merde comme d’habitude.
Cette ocassion il s’agit de la fin d’une periode et du commencement d’une autre…
Cette ocassion il s’agit de la fin d’une periode et du commencement d’une autre…
Apparement c’est comme ça la vie… ça doit toujours faire mal.
Ça aura l’air d’être une chanson de Christophe Maè mais c’est vrai, ça fait mal...
Ça fait mal de quitter ce lieu que, même si c’est un peu ennuyant, petit à petit est devenu ton logis.
Ça fait mal de laisser en arrière celle façon de vivre, les voyages, le TGV, les soirées du thé, les dîners “en famille”, partir en vacances pendant 2 semaines tous les 6 semaines, avoir un portable avec un forfai et déranger tout le monde à partir de 22h, aller passer le temps à Hyper U ou aux rues du quartier du moyen âge...
mais ce que fait vraiment mal c’est dire adieu à toutes ces personnes qui maintenant font partie de ta vie... des copains, des amis et plusiers “presque-frères”... des personnes qui de quelque façon ont une petite place à l’intérieur de ton coeur.
Mais il faut être fort, parce que la vie nous apprend qu’on doit vivre en disant adieu... il faut supporter la douleur, parce que c’est facile de se crasher quand on tèlèphone quelqu’un pour lui rappeller quelquechose et on finit par pleurer avec elle.
Il faut être fort et tenir... rien d’autre que tenir... au moins, l’espoir de se revoir un jour est toujours lá...
simon asi es la vida... y ni pex... El show tiene que continuar =)
ResponderBorrarpinche cursi, no seas chillon! Aparte ya te tocaba ira laivianar raza a respirar el aire podrido de Mexicalpan De eFe
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